Nicolas Malette souhaite être réélu maire de Cayamant

Publié le 5 novembre 2021 par Hélène Desgranges

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Hélène Desgranges

Journaliste | hdesgranges@inmedias.ca

Âgé de 26 ans, Nicolas Mallette a déjà 8 ans de mandat d’élu derrière lui. D’abord conseiller municipal en 2013, il a pris le siège de la mairie de Cayamant en 2017. Aujourd’hui, il veut conserver cette place, car avec son équipe il a travaillé à de gros projets qu’il veut développer avec l’ensemble des citoyens.

Nicolas Malette a été conseiller municipal puis maire à Cayamant dans les dernières années. Il désire poursuivre pour un autre mandat afin de concrétiser des projets ralentis par la pandémie, entre autres. (Photo gracieuseté – Nicolas Malette)

Baccalauréat en science sociale et politique terminée en 2018 alors qu’il était déjà maire, adjoint parlementaire pendant un an et demi pour un candidat fédéral, Nicolas Mallette a toujours travaillé dans la Vallée-de-la-Gatineau ou presque. Depuis la fin de ses études, il fait carrière en finance.

À travers ses implications politiques, il a aussi été bénévole à la Paroisse et à Cayamant, à la Maison des jeunes, entre autres. En fait, dit-il, même à l’école secondaire, il s’impliquait dans beaucoup de projets. En 2013, en accédant à un poste de conseiller municipal, il a voulu prouver aux jeunes qu’ils peuvent aussi s’impliquer.

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La priorité du candidat sera d’investir dans les routes de la municipalité tout en gardant un taux de taxation bas, mais avec de grands services. Il prône aussi la pérennité des services existants et donne en exemple le comptoir postal qui a été maintenu malgré un délai serré pour y parvenir.

Il souhaite aussi un agrandissement du bâtiment municipal, entre autres de la salle communautaire qui peut accueillir 150 personnes alors que la municipalité compte maintenant près de 900 résidents. Pour ce faire, il veut aller chercher des programmes fédéraux. Nicolas Malette parle aussi d’un sentier communautaire pour relier l’école au complexe municipal et l’église.

Au niveau des cours d’eau, il veut là aussi demander l’aide des gouvernements, car Cayamant en compte un nombre impressionnant et pour la surveillance, par exemple, l’exercice devient complexe, explique-t-il.

C’est parce qu’il connait les lois en place, dont celles qui ont changé en 2021, parce qu’il a les connaissances nécessaires pour continuer de mettre en place les projets ralentis par la COVID-19 et qu’il connait déjà les enjeux du milieu en étant prêt à travailler avec l’ensemble des citoyens que Nicolas Malette croit que les gens devraient voter pour lui.

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