Sébastien Langevin
« Vous n’avez encore rien vu »
Lors de la 2e édition du Gala bénéfice de kickboxing Aïsudan qui s’est tenue à l’Espace Théâtre, le 28 février dernier, Sébastien Langevin était la principale tête d’affiche. L’Info a voulu en apprendre plus sur ce vaillant combattant surnommé « The Viking » et a discuté avec lui.
Originaire de Grand-Remous, Sébastien Langevin a 34 ans, est en couple et père de famille. Dans la vie de tous les jours, il est charpentier-menuisier et a sa propre entreprise. Il se décrit comme étant un gars d’intensité et affirme que ça se ressent dans toutes les sphères de sa vie. « Par exemple, quand je vais en voyage, je ne me contente pas d’aller à Cuba. Je choisis plutôt la Bosnie ou la Roumanie, des pays différents et surprenants », a-t-il expliqué.
« Dans une autre vie, probablement que j’étais un viking. Je suis passionné par tout ce qui est en lien avec les Vikings. Avec ma barbe et mes cheveux, on me fait souvent remarquer que je ressemble au personnage dans la série “ Viking ” et c’est René Gratton qui m’a donné ce surnom. Moi, je m’amuse à embellir le mythe », a raconté Sébastien.
Des rêves, il en a à la tonne. Plusieurs tournent autour des voyages. « Parfois, j’ai peur de manquer de temps pour voir tout ce que je veux voir », affirme-t-il. Il souhaite aussi poursuivre le plus possible dans son sport. Il veut faire d’autres combats et n’écarte pas la possibilité, un jour, de faire un combat d’arts martiaux mixes (combat ultime) et projette de se mettre au Jiu-Jitsu pour compléter sa formation.
Rappelons que Sébastien est combattant Aïsudan, qu’il a été médaillé d’argent au Gant de bronze en 2014 et qu’il cumule un total de quatre combats en boxe et maintenant cinq combats en kickboxing.
À tous les gens qui lui demandent, suite à sa dernière défaite, si à 34 ans il va arrêter de combattre, s’il en a assez de manger des coups, il répond : « vous n’avez rien vu encore ». Sébastien désire plus que tout être du Gala de l’an prochain et aimerait, avant celui-ci, avoir la chance de livrer un autre combat au printemps ou à l’été prochain afin de garder le rythme, car selon lui, un seul combat par année ce n’est pas assez pour être efficace.
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