Cité étudiante de la Haute-Gatineau
La campagne de sociofinancement de la CEHG tire à sa fin
La Cité étudiante de la Haute-Gatineau (CEHG) a besoin de vous pour arriver à atteindre ou même dépasser son objectif de 25 000 $. Au moment d’écrire ces lignes, il manquait moins de 2000 $.
Vous avez jusqu’au 28 février pour contribuer à cette campagne de sociofinancement qui servira à restaurer les espaces perdus et oubliés de la Cité étudiante de la Haute-Gatineau (CEHG) et créer des espaces d’apprentissage extérieurs. La CEHG demande un dernier coup de pouce à la communauté pour y arriver.
Rappelons que ce sont quatre endroits différents qui seront aménagés. Il y en a 2 qui serviront aux jeunes pour s’amuser, relaxer et socialiser entre eux. Les deux autres serviront aussi à ça, mais sur les heures de classe, ces espaces serviront de classe extérieure, explique le technicien en travaux pratiques à la CEHG, Philippe Laramée.
La valeur totale de ce projet est de 200 000 $. Une partie des fonds a déjà été amassée pour la réalisation de la phase 1 et pour aller chercher les subventions qu’ils désirent afin de réaliser les trois autres phases, la CEHG doit amasser une mise de fonds de 25 000 $ ou dépasser cet objectif dans le but d’en offrir encore plus à ces jeunes qui fréquentent la CEHG ainsi qu’à toute la population.
Dans un monde idéal, ils aimeraient dépasser un peu l’objectif. Sachant que le domaine de la construction est instable depuis un certain temps et que les prix augmentent rapidement, ils savent qu’ils devront peut-être se réajuster en cours de projet. La structure principale du projet va avoir lieu. Tous les gros modules c’est sûr que ce sera fait, ils ont la mise de fonds, mais c’est tributaire de la demande de 100 000 $ qu’ils ont fait au ministère. D’ailleurs, ils attendent une réponse en avril ou en mai, mais sinon a priori, le projet ira de l’avant, souligne M. Laramée.
La Cité étudiante de la Haute-Gatineau a besoin de votre soutien. (Photo L’info de la Vallée — Marie Pier Lafleur)
« Ce qui risque d’arriver, c’est qu’on va devoir couper dans le surplus. On avait ajouté des trucs pour que ce soit beau autour comme des bacs à fleurs et des bancs de plus. Alors, on s’imagine facilement qu’on va devoir couper dans ces trucs-là. »
Philippe Laramée
Ils auraient aimé dépasser l’objectif parce qu’ils présument que les prix augmenteront. Donc, ils devront possiblement couper dans le bonus autour, le côté esthétique, comme l’indique M. Laramée.
Vous avez jusqu’au 28 février pour faire un don. Pour donner, vous pouvez vous rendre sur la page Facebook ou Instagram de la CEHG ou rendez-vous sur la plateforme lafabriqueaprojets.ca/cehg.
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