Palmarès des commissions scolaires
Un classement négatif qui n’inquiète pas la CSHBO
La Commission Scolaire des Hauts-Bois-de-l’Outaouais (CSHBO) se classe en 27e place sur 28 au palmarès des commissions scolaires selon le Journal de Québec
Les données évaluées pour établir ce classement reposent principalement sur les résultats des élèves de 4e et 5e secondaire aux examens du ministère de l’Éducation.
L’institut Fraser qui collige les données pour élaborer le palmarès aimerait identifier, grâce à celui-ci, quelques-unes des bonnes pratiques utilisées par les commissions scolaires qui obtiennent les premières places au classement afin d’inspirer les autres qui réussissent moins bien.
Pour la CSHBO, qui est fière des améliorations vécues à l’interne, le palmarès n’est pas un sujet qui mérite d’être commenté.
« On peut faire dire ce que l’on veut aux chiffres », explique la présidente de la commission scolaire, Diane Nault rejointe au téléphone par L’info après la parution du palmarès.
Elle donne en exemple le cas d’une classe qui compte sept enfants : « Lorsqu’un enfant sur sept ne réussit pas, le pourcentage d’échec est plus fort que celui d’une classe de 30 élèves ». Pour elle, ce résultat importe peu. Ce qui compte, ce sont les efforts investis à l’interne pour améliorer la réussite scolaire des étudiants.
Bien qu’elle n’ait pas les chiffres en main au moment de sa discussion avec L’info, Mme Nault explique que la commission scolaire a déjà reçu, par le passé, une demande d’augmenter son taux de réussite à 70% pour 2022 et qu’en ce moment, ce dernier tourne autour du 65%.
Cette année, par exemple, la CSHBO désirait augmenter le niveau de résultat des 5e secondaires. Ils n’ont pas encore atteint leur objectif mais sont sur la voie. Avec la prochaine cohorte, la CSHBO est confiante de l’approcher. La satisfaction première est d’aller vers le positif et de ne pas régresser.
Les moyens utilisés pour augmenter le taux de réussite des élèves sont diversifiés et bien que la CSHBO souhaiterait qu’ils soient encore plus grands, ils portent fruit. Que ce soit l’aide aux devoirs, la récupération sur les heures de dîner ou l’aide aux enseignants pour les enfants en difficultés, tout est en hausse.
« On investit de plus en plus d’argent pour aider les enseignants, ce n’est pas à 100% », explique Mme Nault en soulignant que le nombre d’enfants qui ont recours aux services d’aide est grandissant mais elle ajoute et conclut : « l’important, c’est que ça avance ».
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